Etymologiquement ce quartier tire son nom du loch, en breton un étang d'eau douce situé en arrière d'une dune de sable. voir l'article intitulé : Le loch de la plage du Trez (https://www.lamerdanslesbois.com/post/le-loch-de-la-plage-du-trez)
La ferme de Kerloch que l'on retrouve sur le cadastre 1840 se trouve en retrait de la zone humide et sur son côté occidental.
Fig 1 : Sur la photo ci-dessus, prise en 1952, on remarque très bien en bas et à gauche l'hôtel de la plage de la famille Jacq, qui deviendra par la suite une clinique de rééducation sous le nom de Ker an aod.
2 hôtels à l'époque, un commerce avec la boucherie de Pierre Hippolyte, et les deux petites fermes de Kerloch, la plus au sud à la famille Merrien et la plus au nord à la famille Daniel mais exploitée à cette époque par Yvon Bourbigot.
Fig 2 : le penty de Marie-Anne Merrien avant rénovation
Fig 3 : Marie-Anne Merrien avec sa vache de race pie noire armoricaine. Sans aucun doute, une des dernières vaches de cette race rustique à avoir brouté l'herbe de la commune.
Fig 4 : la curiosité du quartier - Le vieux châtaignier. La circonférence du tronc donne une idée de l'âge de cet arbre. Le tronc était bien creux et les enfants adoraient s'y cacher. Certains s'en souviennent encore non sans un certaine émotion.
Fig 5 : L'hôtel de l'Hermitage selon sa dernière orthographie, qui se nommait "l'Ermitage" auparavant et Ker Emile de son nom de baptême.
Fig 6 : document très précieux que cette photo de joueurs locaux de boule bretonne sur le terrain de Ker Emile. Parmi eux, arborant une belle cravate, le boulanger de ty Corn, Pierre Le Noach.
Fig 7 : Dans les années 1950, les 3 frères Balbot, Jean-Claude, Michel et Alain. En arrière les deux habitations des familles Garin à gauche et Marchand à droite, donnant sur la rue de Kerloch.
Sincères remerciements à Antoinette Péron Le Noach, Annie Merrien et Jean-Claude Balbot.
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