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EUGENE HENRI GRAVELOTTE MEDAILLE D'OR AUX JO d'ATHENES EN 1896

Dernière mise à jour : 9 mars 2022



Né à Paris le 6 février 1876, Eugène Henri Gravelotte décède dans sa maison de Bénodet le 23 août 1939.

Ce fleurettiste restera le premier médaillé d'or de l'escrime française en battant en finale son compatriote Henri Callot. Il avait 20 ans et était étudiant en médecine. Il célébra sa victoire en buvant sur l'Acropole un verre de retzina.


Les équipes de France et de Grèce en escrime aux JO d'Athènes en 1896. Eugène-Henry Gravelotte est un d'entre eux ... probablement le second en partant de la gauche.


Une épreuve d'escrime aux JO d'Athènes en 1896.


Récompense d'Eugène-Henri Gravelotte (1887-1939), athlète français victorieux au fleuret (3 touches à 2 contre son capatriote Henri Callot) lors des premiers Jeux Olympiques d'été de l'ère moderne tenus à Athènes du 6 au 15 avril 1896. L'étudiant et fleurettiste de vingt ans, remporte là la première victoire française de l'histoire olympique. Outre la médaille d'or qu'il reçoit du roi Georges 1er de Grèce, l'Athenia Club lui remet également cette coupe en argent

Nice, musée national du Sport, © Service des musées de France, 2016

Devenu médecin, il se fit remarquer pendant la Première Guerre mondiale comme l'at

teste le petit article de presse du journal "le Finistère" du 20 octobre 1916.

Son comportement héroïque lui valut la croix de guerre puis la légion d'honneur en 1920.


En 1925, il est élevé au grade d'officier de la légion d'honneur.

Mais ou habitait-il donc à Bénodet ?


Il était propriétaire d'une maison dont le premier occupant fut Joseph Mestric, ancien gardien des phares de Bénodet et maître du port, dans le quartier de menez nevez.

Joseph Mestric construisit la première maison de ce quartier qu'on peut aussi appeler meneyer.

La maison Gravelotte rue du phare.



La sépulture d'Eugène Henry Gravelotte au cimetière d'Ergué-Armel.


Pour la petite histoire on peut signaler que Mme Gravelotte mère fut propriétaire du moulin du Pont à Pleuven.


Le 6 mars 2022 le quotidien Ouest-France à l'initiative de Guy Decoulonvilliers historien originaire de l'Essonne, Emilie Chaussepied rédige un article pour rappeler aux quimpérois (en bénodétois) que le premier champion de l'olympisme français repose dans leur cité, au cimetière de l'ancienne paroisse d'Ergué-Armel.






2 jours plus tard, "Le Télégramme" , dans un long article,se fait également l'écho de cette redécouverte.



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1 Σχόλιο


Doug Nichols
Doug Nichols
27 Ιουν 2021

The photo at the top is of Ion Drimba, Olympic Gold medalist from 1968 (Romania, foil).

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